Mes 50 "phrases musicales" préférées

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A

quoi que je fasse où que je sois, rien ne t'éfface, je pense à toi...

il faut en faire des voyages, il faut en faire du chemin, ce n'est plus dans son village qu'on peut gagner son pain...

...juste voir et comprendre tout ce que je ne suis pas.

... nouant la fleur de l'âge en un bouquet superbe, il y a bien longtemps qu'on vous a mis en gerbe Madame le printemps vous oublie.

t'es pas un grand causeur, on t'l'a jamais demandé, t'as payé en sueur le prix qu'il faut payer...

B

mais on verra bien c'est gagné d'avance, les amoureux de demain vont nous inventer d'autres danses...

Moi, je crois plutôt qu'elle
change les draps d'un autre hôtel, d'autres traces de doigts
Sur d'autres poubelles
De l'autre côté d'un autre couloir, elle doit faire chanter les miroirs...

C'est un chemin perdu où tu m'avais donné la main, un village inconnu, aucun facteur ne s'en souvient, c'est un château de sable avec une église au milieu...

...faut surtout jamais regretter, même si ça fait mal c'est gagné, tous ces moments, tous ces mêmes matins...

Mes amis sont partis et ne reviendront pas,

Par ma faute, j'ai fait le vide autour de moi, et j'ai gâché ma vie et mes jeunes années...

C

Il va continuer, le monde
et il aura bien raison,
Les poussières d'une étoile
c'est ça qui fait briller la voie lactée...

...que tous les moins que rien n'avaient pour s'en sortir que l'école et le droit qu'a chacun de s'instruire...

j'aurais mis de la couleur sur mes joues et sur mes lèvres, je serais devenue jolie...

A peine voit-on ses enfants naître
Qu'il faut déjà les embrasser...

Il faut dire que les temps ont changé, aujourd'hui c'est chacun pour soi ...

D

C'est moi qui lui construis sa vie lentement
Tout ce qu'elle peut dire sur moi
N'est rien à côté du sourire qu'il me tend

Le vent s'engouffre dans ma valise et sur ma route, il y a des trous, j'ai vu tant de rues, j'ai vu tant d'églises,
Mais les plus belles étaient chez nous

Dans son vieux par-dessus rapé, il s'en allait l'hiver l'été, dans le petit matin frileux...

J' lui dit qu'elle est belle
comme un fruit trop mûr
Elle croit qu' je m' fous d'elle, c'est sûr
Faut bien dire s'qu'y est
Moi aussi j' débloque..

tu es libre d'aimer la fille que tu voudras, elle bougera ses cheveux dans un ciel parfumé...

E

C'est fou qu'un crépuscule de printemps rappelle le même crépuscule qu'il y a 10 ans
Trottoirs usés par les regards baissés qu'est-ce-que j'ai fais de ces années ?

Il r'garde autour de lui avec les yeux de l'amour avant qu't'aies rien pu dire, il t'aime déjà au départ...

ta couleur et tes mots tout me va, que tu vives ici ou là-bas...

J'ai tant caché mes différences, sous des airs ou des faux semblants, j'ai cru que d'autres pas de danses, me cacheraient aux yeux des gens, je n'ai jamais suivi vos routes, j'ai voulu tracer mon chemin...

Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève

F

J'irai chercher ton coeur si tu l'emportes ailleurs
Même si dans tes danses d'autres dansent tes heures...

Certainement appuyés sur des bancs
Il y aura quelques hommes qui se souviennent
Et des nuages pris aux antennes

Je me relève sous ton regard,
Je fais des rêves où tout va bien, je me bouscule, te prends la main
Au crépuscule, je te rejoins...

Restera-t-il encore un peu de notre amour au premier vent du nord, aux premiers mauvais jours ?

Restera-t-il demain un peu de ton sourire ?

Mon enfance m'appelle sur des plages de sable
Mon enfance m'appelle sur des plages dorées
Sur elle sont venues s'inscrire impitoyables
De nombreuses années
...

G

Tu m'as pris par la main dans cet enfer moderne
Où l'homme ne sait plus ce que c'est qu'être deux
Tu m'as pris par la main comme un amant heureux...

Y a toujours un poème, pour le destin qui te blesse, quelqu'un qui t'aime, pour les regrets que tu laisses,

Si tu peux rester le même, toi qui changes tant d'adresses ...

La voix d'un homme dans ses yeux lui dit que ce n'était qu'un jeu
Qu'ils rebâtiront leur bonheur, et qu'un enfant brûlera leur cœur

Petite chanson d'reconnaissance, pour ces stars d'mon adolescence

Je n'en ai oublié aucune, chères et précieuses une à une

Si tu crois un jour qu'je t'laisserai tomber, pour un détail pour une futilité, n'aie pas peur je saurais bien, faire la différence

Si tu crains un jour qu'je t'laisserai fâner, la fin de l'été, un mauvais cap à passer...

H

Cet homme du midi de la France, ce baladin de la Provence, ce facteur du courrier du cœur, qui a toujours fait mon bonheur
Il chante avec la même voix
Des souvenirs qui sont en moi

J'ai au fond de ma mémoire des lumières d'autrefois qu'une très vieille femme en noir illuminait pour moi,

Une maison toute en pierres que la mer a rongée...

changer les âmes,
changer les cœurs avec des bouquets de fleurs,
la guerre au vent,
l'amour devant,
grâce à des fleurs des champs.

Je n'attendais rien de toi, qu'une raison d'être là
Juste une trace avant de partir.

Deux étrangers au bout du monde, si différents, deux inconnus, deus anonymes mais pourtant, pulvérisés sur l'autel de la violence éternelle...

I

J'ouvre tout grand mon coeur j'aime de tous mes yeux, c'est trop peu, pour tant de coeurs et tant de fleurs, des milliers de jours, c'est bien trop court, c'est bien trop court

L'amour
Te porte dans tes efforts
L'amour
De tout délie les secrets

Etre là de passage sans avoir rendez-vous, avoir tous les courages de me donner à vous...

Les filles veulent aller au bal, il n'y a rien de plus normal que de vouloir vivre sa vie...

Danser, fermer les yeux, ne surtout plus penser, du bout des doigts, te toucher, te troubler, dire que je danse, mais t'apprivoiser. Tomber, dans cet orage, mourir froudroyé, dans ce volcan, me perdre et m'y brûler, mourir d'amour et en ressuciter.

J

Je suis blond et tu es blond, Tu as les mêmes yeux que moi

Tu es la réussite que je n'attendais pas, nous deux c'est une histoire d'homme, ne vas pas le dire à ta mère, elle ne peut pas comprendre. Que mon secret sur terre

Faut pas pleurer, t'es le plus fort, il faut serrer les poings très fort

Elle est partie pour tes dix ans, Depuis tu dis, elle revient quand ?

... et soudain ma pensée, m'enlève et me dépose, un merveilleux été, sur la grève, où je vois tendant les bras, l'amour qui, comme un fou, court au devant de moi, et je me pends au cou de mon rêve...

Par desus l'étang, soudain j'ai vu passer les oies sauvages...

Epouse-moi, donne-moi un enfant et depuis ce jour là, au grand étonnement de tous les gens, il vit tranquille dans une sale bicoque, avec un sale gamin et une sale bonne femme,

Et son sale petit bonheur...

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