Francis Cabrel, l'encre de tes yeux |
Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux Puisqu'on est fou, puisqu'on est seuls Puisqu'ils sont si nombreux Même la morale parle pour eux J'aimerais quand même te dire Tout ce que j'ai pu écrire Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux. Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes A trop vouloir te regarder, J'en oubliais les miennes On rêvait de Venise et de liberté Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves J'aimerais quand même te dire |